Notre projet a pour but de créer un costume bioluminescent et de le mettre en jeu dans une performance dansée. Pour créer notre costume on souhaite utiliser une enzyme synthétisée, que l’on retrouve chez les lucioles : la luciférase. Notre projet futur pour ce costume serait d’utiliser des bactéries modifiées génétiquement capables de synthétiser cette enzyme et son substrat.
Ceci permettrait d’avoir un vêtement « vivant » qui diffuserait une lueur en continu, sans apport d’une énergie électrique. Permettant de trouver une alternative au costume fonctionnant avec des LED, éliminant une énergie électrique avec des composants qui se recyclent mal. On propose ainsi un costume éco-responsable avec une énergie auto-suffisante.

D'après Neveu Erik, auteur de « Sociologie des mouvements sociaux », un mouvement social est une action collective et concertée, par « des personnes ayant en commun un intérêt, une profession ou une revendication à faire valoir. »
La pratique artistique au sein des mouvements sociaux peut être perçue comme essentielle : affiches, spectacles, performances, chants, etc. Cela permet de resserrer les liens entre plusieurs personnes déjà unies autour une même cause. L'art dans un mouvement social est l'un des pilier de sa communication, il contribue à forger l'identité même du mouvement. C'est également une donnée scientifique précieuse, un prisme qui permet de porter une analyse particulière des mouvements sociaux, une lecture à la fois historique et sociologique.

Notre projet consisterait à offrir au grand public une grille de lecture claire et limpide des enjeux créatifs dans un mouvement social : une installation/exposition qui ferait voyager le visiteur dans le temps et l'espace, à la découverte de créations qui ont été déterminantes dans leurs mouvements respectifs.

PRISMES est un spectacle pluridisciplinaire mêlant sciences, théâtre, danse, acrobatie, musique. A l’origine du projet, il y a différentes découvertes scientifiques encore récentes qui ne font pas toutes l’unanimité ou commençant tout juste à le faire : la physique quantique, les recherches en neurosciences sur la méditation et la conscience, les recherches sur les effets des placebos, sur l’eau et sa sensibilité aux émotions etc… Tout cela interroge notre perception du monde et pose les questions suivantes : notre manière de voir le monde le façonne-t-il ? Nos convictions et nos intentions peuvent-elles avoir un réel impact sur notre corps et ce qui nous entours ?

Il ne s’agira pas de répondre à ces questions, et peut-être pas non plus de les poser mais de présenter ces informations intrigantes, et de donner aux spectateurs l’espace pour s’en imprégner et leurs laisser la liberté d’y réfléchir, s’ils le souhaitent, comme ils le souhaitent.

Nous avons pour ambition de mettre en place un laboratoire d'analyse et de création autour des mouvements polluants. Plus concrètement, nous avons l'intention de créer des représentations visuelles avec de la matière polluante.Nous allons mener plusieurs séries d'expériences afin de trouver des applications scientifiques et artistiques à cette matière. Par exemple, la smogographie. Ce néologisme de notre cru désigne un procédé d'impression que nous avons conceptualisé.L'idée est de substituer à l'encre ou à la peinture, bref, aux matériaux classiques, de la matière polluantes. Ainsi, nous figeons les mouvements polluants.

Face à Phase est une installation sonore autonome, diffusée via un ensemble de haut- parleurs répartis dans l’espace.  En relation avec le mouvement, l’installation explore la perception humaine et les phénomènes d’illusions sonores, liés aux interférences de phases avec les ondes.

Une installation en apparence statique, mais la disposition des haut-parleurs et le contenu sonore sont étudiés pour créer des interférences entre les ondes acoustiques.

Lorsque le public se déplace dans l’espace d’exposition, les ondes se percutent et se métamorphosent.

L’auditeur peut donc au gré de ses mouvements et placements dans l’espace, créer sa propre composition musicale et pousser sa découverte des interférences.

Un projet de théâtre, de danse, de science et de musique live.

Deux femmes, deux amies qui préparent le concours de leur vie. Celui qui leur ouvrira les plus belles scènes. L’une d’elle est atteinte de TOC.

Comment intégrer des mouvements incontrôlés liés à un traumatisme dans une chorégraphie ?

Une pièce qui veut porter un message d’espoir. Le théâtre pour jouer, la danse pour montrer et la musique pour ressentir. D’où vient le geste, comme s’explique-t-il ? Réussiront-elles à le contrôler ?

Une exposition photographique des moments de répétition est proposée au 2ème étage près de l’auditorium.